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Urrutia - Lekuak - EODA

Urrutia (Dorrea)

Entitatea:
Eraikuntzak/Ondarea
Arautzea:
arautu gabeko lema 
Non: Amurrio
Kokalekuak:
  • urru-ty - (1874) LU.RNLPB , 23. or.
    (...)
    2º. Affixes commençant par une consonne [...] II. DENTALES [...] Tégi, dégi. Suivant Astarloa (p. 89) la finale tegui, au défini tegui-ja, indique un lieu destiné à tel ou tel emploi, par exemple: Apal-tegui-ja = le lieu où l'on dine; Lan-tegui-ja = le lieu où l'on travaille. La finale toqui, toqui-ja a le même sens: Pelota-toquija "le lieu où l'on joue à la pelote." // Cette définition est trop restreinte. Tégi, dégi est employé aussi très-frequemment dans le vocabulaire commun pou désigner "l'endroit où l'on renferme quelque chose": behi-tégi "vacherie", de behi "vache"; bihi-tegi "grenier", de bihi "blé"; esnétégi "laiterie", de esné "lait", etc. La maison du forgeron arotz-a s'appelle aroch-tegia; la maison des étrangers arrotz-ak ou l'hôpital, s'appelle arroztegia, etc. // Il est vrai que dans un autre passage (p. 102), Astarloa recommandant de ne pas confondre les terminaisons egui et tegui, définit la seconde "parage en quo [sic] abunda la cosa significada por su primitiva voz", sens beaucoup plus large, et qui dépasse même singulièrement les exemples qu'il veut en donner. Ainsi arri-tégui ne signifie pas seulement "lieu où il y a beaucoup de pierres" mais, comme le traduit l'auteur espagnol lui-même "lieu où l'homme amoncelle les pierres", pour s'en servir ensuit [...] Tégi, dégi paraît être le primitif des affixes tey, dey; toy, doy; ti, di et tu, du, que nous allons examiner. La chute fréquente de la douce g entre deux voyelles (Vinson, Phon. p. 449), explique la transformation de tégi en tey par l'intermédiaire de téhi; on sait d'autre part que ei permute avec i (ibid. p. 437) d'ou tey = ti; que ei permute avec oi (ibid) d'ou tey = toy; qu'enfin u = i et réciproquement d'où ti tu (p. 435) [...] Ti, ty eta au défini tia; di, dy et au défini dia: affixe que implique particulièrement l'idée d'abondance, surtoutu dia qui, dans le vocabulaire usuel est joint d'ordinaire aux noms d'arbres: aritzti-dia [sic] "la chênaie"; elzaur-dia "la noyeraie"; gorosti-dia "la houssaye"; izai-dia "la sapinière" [...] Astarloa range cet affixe parmi les "nombres locales" (p. 99 et 101) et le qualifie de terminaison fréquentative, Urqui-di "lieu planté de bouleaux, la boulaye"; Ares-ti "la chênaie" etc. Mais parfois ti, di répond simplement à l'idée d'endroit, de localité: Urru-ty, nom d'une foule de petites localités situées toutes au bord d'un cours d'eau, ura; Urr-es-tilla (Gip.), qui doit son nom au confluent de deux rivières. (Remarquons ici le s de liaison, facile à reconnaître aussi dans Berrol-s-tegui-eta [sic] (Al.); Ormas-z-tégui, Irur-oz-qui (Nav.), etc.), Belhau-dy (Soule) "lieu de la vallée"; Cur-Cariu-tia (B.-Nav.), col "le haut pâturage"; Ar-tia, pic du Gipuzcoa "le rocher", etc. Dans Art-ia, localité près d'Ustaritz, le suffixe n'est pas tia, mais ia, et il est [il est] combiné avec le radical art "entre, parmi". Cet art-ia tire en effet son nom de sa position entre deux routes
    (...)

    Zer: Herriak, etxeak
    Non: Euskal Herria
    Jatorria: LU.RNLPB

  • urrutia - (1979 [1986]) OV.05 , AEF, XXVIII (1979), 282-283. or. [IRI.TVC, 236. or.]
    (...)
    78. S. García Larragueta recoge del Becerro de RoncesvalIes Ximeno de Vrruicayn para el año 1194, PV, nº 168-169-170 (1983), p. 125, que lleva como primer elemento urrui[.]-, el cual puede ser lo mismo que urruiti, por lo que con toda probabilidad es traducible por 'alto de allente'. Debe tenerse en cuenta que por 'lejos', que en toponimia es también 'allende', Axular emplea en su obra en 1643 urruiti, con diptongo -ui-, que evidentemente es lo primitivo, cuya forma está en la base de las demás variantes, urrun / urrin por una parte, el segundo de ellos en parte de Vizcaya y en el Roncal, y urruti por otra, -al parecer también urriti, si tenemos en cuenta el apellido Urriticoechea, sin duda variante de Urruticoechea, 'la casa de allende', y en Urdiain irruti, (53 [oharra, 258. or.: J. Corominas, en Estudis de toponimia catalana, I, "Toponimia bascoide a Catalunya", p. 209 y ss., estudia el topónimo Orrit, población que tuvo una gran importancia en otro tiempo y que vino a reducirse a un lugar paupérrimo y casi abandonado, pero que en los siglos X, IX, y sin duda desde la época romana, debió ser el centro más importante de la Noguera Ribagorzana, documentándose como Orriti, Orrite, Orrit, Urrite, etc., por dichas fechas. "Orrit, és veritat, postula una base *Urriti en lloc d'urruti", dice, y registra el apellido de un obispo de Barbastro, Urritigoiti, para el s. XVII: "En fi, qualsevol dubte que restés sobre I'existénce d'urriti en terras pirinenques em sembla eliminat pel cognom Urritigoiti que dugué et qui fou bisbe de Barbastre des de 1656 a 1673 (España sagr., XLVIII, 66)". Como hemos visto urruti e urriti son meras variantes con el significado de 'allende'])-. La diferencia entre los dos grupos estriba en que el primero lleva -n añadida, desinencia de inesivo, mientras que el segundo tiene -ti, como en goiti(a) y beiti(a), de goi, 'parte alta', y behe, 'parte baja', etc., pero si nos atenemos a la toponimia existen claramente otras variantes, tales como urrundi, con sufijo -ti añadido sin eliminar la marca ya fosilizada de inesivo, evidentemente de formación posterior, tal como ocurre en el ablativo (h)andik, 'de allí, por allí', a partir de (h)an, que en su origen es el demostrativo de grado más alejado con dicha marca de inesivo, frente a (h)arik, de igual significado, que constituye, incluso por su marca de ablativo, la forma más antigua, hoy en día fosilizada en expresiones tales como arik eta etorri arte, 'hasta que venga (impersonal)'. // Así tenemos en Alava: Urrundi, término de Betoño, Urrúnaga, Garayo y Azúa, Urrundia, términos de Asteguieta, Arróyabe y Guereña; labrantíos de Zuazo, Gamboa, Betoño, Mendiguren y Zumelzu, Urrundirabidea, 1693, términos de Arróyabe y Mendíbil, 'camino a allende', Urrundiburua, 1677, labrantío de Guereña, '(el) cabo de allende', Urrundigoitia, 1699, labrantío de Junguitu, 'allende arriba', Urrundisacona, 1706, prados en Betoño, '(la) hondonada de allende', Urrundizabal, 1675, término de lIárduya, 'llana de allende', Urruntostea, término de Urrúnaga, con primer miembro urrunt-, siguiendo en este caso la regla tradicional de la composición, '(la) parte trasera de allende', cuyas formas alternan con Urrutia, torre de Amurrio, caseríos en Lezama, Echagüen de Aramayona, Llodio y Barambio, fuente en San Román de Campezo, labrantíos en Zumelzu, Urarte y Mijancas, Urrutiaran, 1677, labrantío en Ascarza de Treviño, 'valle de allende', Urrutibeico y Urrutigoico, caseríos en Uncella, 'allende de yuso y de suso', Urruticoerrecalde(a), 1625 y 1719, término de Salvatierra, con genitivo -ko, 'la zona del río de allende', y probablemente también Urrupea, término de Apodaca, que sería lo contrario de Urrundigoitia, visto antes, siguiendo las reglas de composición, cfr. AEF, XXVIII (1979), p. 282-283
    (...)

    Zer: Dorrea
    Non: Amurrio
    Jatorria: IRI.TVC

  • urruti - (2000) ORP.MAISMED , IV. kap., 188. or.
    (...)
    la base urru “situé de l’autre côté” apparaît peu, mais beaucoup son dérivé de même sens urruti généralement employé seul (voir plus loin: les dérivés suffixés)
    (...)

    Zer: Etxe-izena
    Non: Euskal Herria
    Jatorria: ORP.MAISMED

  • urruti - (2000) ORP.MAISMED , III. kap., 101-102. or.
    (...)
    Dans le même réseau sémantique urru “au delà” et son dérivé de type sans doute “adjectival” à l’origine (cf. le chapitre IV) urruti "situé au delà” sont présents un peu partout: // 1) La base urru, dont le lexique moderne n’utilise plus que la forme urrun “loin, éloigné”, sans qu’on puisse décider, comme souvent en lexique basque lié au lieu et au temps, si c'est un inessif, ou un superlatif issu d’un ancien *urruen, donne quelques noms: aldacurru qui doit être “au delà du versant” ou avec qualifiant antéposé (cf. le chapitre IV) “versant de l’autre côté” par exemple à Lasse (voir ci-dessus) où ces deux sens sont conformes au site par rapport au centre du hameau, et 1350 mendicurru à Irouléguy; les deux noms, construits sans doute avec une occlusive de liaison appelée par le hiatus (cf. le chapitre IV), sont cantonnés en Cize et surtout, comme d’autres termes toponomastiques rares ou absents ailleurs, en Baïgorry; en Soule à Aussurucq (romanisation de al(t)zuruku peut-être composé du même, avec affaiblissement de la vibrante) dans urruchoro (Censier: moderne “Urrutcho”). Ce mot a pu former aussi, plutôt que urr(h)e “or” qui serait bien surprenant, le nom de Hélette 1435 urrelçe, avec un dernier élément inattendu (eltze “pot”, ou métathèse de leze “gouffre”?), maison effectivement sise sur une ondulation “au delà” d’un accident topographique et de l’espace anciennement habité. Peut-être trouve-t-on encore une forme altérée (dissimilation vocalique?) du même dans le nom cizain de Bascassan 1366 mindurry, dont le premier terme et la forme ne sont pourtant pas clairs ni aisément comparables à d’autres éléments (voir plus loin des termes comme min, mina), urri pouvant correspondre aussi à la rigueur au lexème toujours usité urri “insuffisant, peu productif”. C’est peut-être aussi urru qui a servi à faire le nom labourdin d’Urrugne, quoique la finale nasale et semble-t-il palatalisée dès les premières citations (1083 urruina, urrungia etc.) soit peu claire, sinon comme réalisation locale (mais non attestée avant le basque moderne) du superlatif déterminé urruena, pure hypothèse certes, mais non point invraisemblable, si l’on tient compte que le vaste espace de cette paroisse labourdine “ultime” occupait, après Saint-Jean-de-Luz, et avant la séparation à partir du XVIe siècle de Ciboure et de Hendaye, tout le territoire compris entre la mer, le ruisseau de l’Untxin et la Bidassoa [14 Rien n’autorise à traduire urru base de urruti, urrun, par “plateau”, comme le propose un article de l’ouvrage Urrugne (sous la direction de H. Lamant-Duhart, Ekaina 1989, p. 22), ni à lui donner un autre sens que “autre côté”, dans tous les toponymes médiévaux, et en particulier, quelle que soit l’incertitude des conclusions à en tirer, pour le nom d’Urrugne, lequel évidemment n’a jamais été attesté par ailleurs sous la forme *urrunaga, le suffixe -aga étant toujours pleinement écrit dans toutes les citations médiévales sans aucune exception, et jusqu’aux temps modernes, mais jamais pour ce nom]. // 2) La toponymie basque a surtout utilisé urruti, à l’origine dérivé qualifiant en -ti, dont le sens “situé de l’autre côté”, et non pas “loin” par extension de sens comme dans les dialectes ibériques modernes, est parfaitement explicité par l’emplacement des maisons. Cet “autre côté” se définit généralement à partir d’une limite géographique et territoriale marquée par un cours d’eau (ce qui a pu faire penser un temps que la base était ur “eau”, explication que n’autorisent ni la vibrante forte, ni l’existence de la base urru) ou n’importe quelle autre ligne de séparation aujourd’hui non perceptible, ainsi, pour ne prendre que deux exemples notoires: d’abord l’unique maison noble d’Aussurucq - pays d’écart par rapport au reste des villages des Arbailles, qui semble donc avoir fait un usage particulier du lexème urru: voir ci-dessus - 1327 urrutie qu’un petit ruisseau longe et sépare des autres édifices; puis le hameau urrutia de Saint-Jean-le-Vieux, avec son église (en ruines) “Saint-Jean de Cize” et ses domaines nobles anciens (Urrutia d’abord, puis Etxebertzea, Harrieta, Irumberria), qui commence après le cours du Laurhibar immédiatement au pied et à quelques mètres du camp romain et de la motte féodale qui lui faisait suite sur le plateau de “Saint-Pierre d’Usacoa” (c’est-à-dire anciennement *urdakoa > *urzakoa > usacoa “du plateau” selon toute vraisemblance) vocable de la paroisse actuelle (voir le chapitre II: les hagionymes dans les noms de maisons)
    (...)

    Zer: Leku-izena
    Non: Euskal Herria
    Jatorria: ORP.MAISMED

  • urruti - (2000) ORP.MAISMED , III. kap., 91. or.
    (...)
    Dans les noms se référant à une simple notion de lieu, l’un des toponymes d’habitat médiévaux les plus répandus est assurément urruti, mot encore bien présent dans le lexique dialectal moderne soit tel quel en zone péninsulaire soit sous la forme urrun au sens précis de “loin, éloigné”
    (...)

    Zer: Oikonimoa, deitura
    Non: Euskal Herria
    Jatorria: ORP.MAISMED

  • urruti - (2000) ORP.MAISMED , III. kap., 162. or.
    (...)
    urru “au delà” est rare comme il a été vu, mais son dérivé urruti “situé au delà” toujours en emploi substantival absolu est l’un des toponymes les plus répandus; les autres références, aussi bien à la position “avant” aitzin(e) que, plus encore, pour les notions d’écart (bazter “à l’écart”) et d’isolement, ont fait peu de noms; les termes, sauf bakoitz “seul” et -(n)ika “isolé” toujours postposés (etxenika “maison séparée, isolée” se lit en Baïgorry, Arbéroue, Labourd), apparaissent antéposés sans marque de génitif ou postposés: 1350 mendicurru à Irouléguy et urruchoro à Aussurucq, 1412 etchavaster à Ayherre et 1615 bastarretche à Villefranque, ach(e)aytzssine à Espès et Chéraute, 1350 echeyzinea à Lécumberry etc. et aycinechea à Mendy (il y a peut-être une forme dérivée en -ti du même, aitziti comme goiti etc., altérée et graphiquement romanisée dans ayxithiex à Larrau 1540), le terme étant en emploi substantivé absolu dans aytzsnea (pour *aytzsinea) "l'avant" à Erbis de Musculdy, comme dans l’ancien nom de Villefranque 1083 baster "écart, côté"
    (...)

    Zer: Leku-izena
    Non: Euskal Herria
    Jatorria: ORP.MAISMED

  • urruti - (2000) ORP.MAISMED , IV. kap., 195. or.
    (...)
    Collectifs: // -toi, -doi, -ti, -di [...] seul le sens du mot suffixé permet, parfois, de faire la différence (voir plus loin urruti)
    (...)

    Zer: Etxe-izena
    Non: Euskal Herria
    Jatorria: ORP.MAISMED

  • ruthie - (2000 [1498]) ORP.MAISMED , IV. kap., 205. or.
    (...)
    aphérèse (disparition de la voyelle initiale) de a- et e- et parfois i- et u- généralement du fait de l’agglutination à l’article (1245 el esparren, 1435 la Rondo) ou à la préposition romane (1366 lassale de Recart): 1249 guerre, de cheverri, 1257 metsague, 1451 chagoyen, turbide, 1498 lissalde, ruthie pour “Agerre, Etxeberri, Ametzaga, Ithurbide, Etxagoien, Elizalde, Urrutia” etc., les noms officiels (“Sumberraute” pour 1316 alçumbarraute en basque moderne “Alzumarta”) et d’état civil modernes ayant pu hériter de ces formes
    (...)

    Zer: Etxea
    Non: --
    Jatorria: ORP.MAISMED

 

 

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