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Adurraga, Gurbil y Ayzoz. Del señor de Góngora
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Gurbil o Igurbil. Sin vestigios de población, perteneciente al Conde de Ayanz, llevándolo los del lugar de Etuláin
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En val de Anué, merindad de Pamplona, figura en la relación de desolados del Libro de Fuegos de 1427, pero no en el de 1366, por lo que queda duda sobre su existencia, al menos con este nombre. No cita Altadill.
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la base gur (quoique seulement possible dans aytzcureche à Abense-de-Haut) de guren bien identifiée en toponymie basque (gurbil, gurbeaga, gurmendi aux XIIIe et XIVe siècles en zone hispanique) a sans doute un rapport avec l’oronymie et l’idée de hauteur comme son dérivé guren, en Soule dans mendigorren (en phonétique gasconne du Censier il faut entendre une voyelle fermée vélaire “ou”) à Trois-Villes, mi(ñ)agoren à Alçay
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L’élément guren perdu par le lexique moderne mais bien présent en toponymie médiévale comme second terme de composition, et peut-être identifiable comme forme superlative d’un gur- lui aussi utilisé en toponymie, est probablement lié au même ensemble sémantique avec l’idée de “limite de hauteur, le plus haut”, morphologiquement et lexicalement proche en ce cas de goien “le plus haut” [7 L’existence d’une base gur est claire d’après les composés comme 1240 gurbil, 1242 gurbe-, 1243 gurpegi, 1393 gurmendi, et il y a lieu d’y reporter probablement des toponymes et oronymes comme Baigura, et en Béarn Gurs ou Gurmençon dont l’explication reste inconnue]
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