Leku-izenak

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chabiague Léon d’Uyre, sr de_, 1498, Chabiague, moulin, côte [N.B.: La date de 1498 désigne une transaction entre le chapitre de Bayonne et les Biarrots sur la dîme des Baleines (Archives des B.-P., G 85)]
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chabiague Léon d’Uyre, sr de_ [...] Chabiague, moulin, côte
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Mouriscot aintziraren ipar-ekialdean
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Parmi des noms de plantes d’identification très incertaine et peu utilisés, on peut citer: akara “lis matéole”, nom qui est aussi dans le composé akaramallu “hièble” dans les lexiques modernes, peut expliquer acaspe maison d’Ithorrots; sabi “sauge” étant un emprunt de même étymologie que le mot français (latin salvia) il est peu vraisemblable pour expliquer à Biarritz 1335 chabiague qui doit procéder d’un ancien composé *etxabiaga “lieu des deux maisons”; et golderna “herbe à piquants” est tout compte fait assez loin du nom d’Ascain 1505 goldarazteguy qui semble un nom personnel d’origine construit avec –tegi “demeure”
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Les numéraux proprement dits (voir ci-dessus pour les qualifiants issus de bat et ika “un”: bakoitz, -(n)ika) sont tout à fait rares et pas toujours identifiables: “deux” à Biarritz dans 1498 chabiague qui peut être compris comme etxabiaga “lieu des deux maisons”; en Cize 1350 irursagarreta est plus sûrement “lieu des trois pommiers” (non identifié comme maison du pays, peut-être nom d’origine), chiffre formant aussi le nom ancien d’Irouléguy d’analyse plus incertaine (cf. l’ouvrage cité en note 50); et de même l’hydronyme actuel du Lauribar “quatre vallées” qui nommait une maison hospitalière à Mendive 1412 lospitau de laurhivar. Le chiffre “cinq” assez anciennement attesté en toponymie de la zone ibérique (1279 borçarorreta pour bortzalhorreta “lieu des cinq pâtures”) nomme une maison d’Amendeuix en Mixe citée en 1551: bortzharitz “cinq chênes”
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